Le 27 juillet 2024, un grand espoir a été suscité chez les usagers de la route Labé-Mali Yembering, avec la pose officielle de la première pierre du chantier de réhabilitation de ce tronçon clé. À cette occasion, autorités locales, responsables de la Banque Islamique de Développement (BID) et représentants de l’entreprise en charge des travaux avaient promis une amélioration rapide des conditions de circulation.
Cependant, près d’un an après cet événement symbolique, les usagers continuent de vivre un véritable calvaire, alors que le projet semble piétiner.
La route Labé-Mali longue de 107 traverse les sous- préfectures de Yembering, Fougou et Widayatou. Elle représente un axe vital pour la Guinée, non seulement reliant les deux préfectures ( Labé et Mali ) et facilitant le transport de personnes et de marchandises.
Sa dégradation progressive au fil des années a eu des conséquences dramatiques sur la vie quotidienne des habitants de la zone. Les nids-de-poule, les passages inaccessibles et les sections impraticables font partie du quotidien des usagers, ralentissant les déplacements et multipliant les risques d’accidents. Le calvaire des habitants et des voyageurs semble sans fin.
Financée par la Banque Islamique de Développement (BID), l’initiative avait été saluée comme un projet phare pour la région. L’institution financière s’était engagée à soutenir la réhabilitation de cette route essentielle, avec l’objectif de moderniser et sécuriser l’axe. Les fonds alloués à ce projet visaient à stimuler le développement régional, mais l’attente semble interminable.
L’entreprise responsable des travaux était censée mettre en œuvre des solutions rapides et efficaces. Cependant, les retards dans l’exécution des travaux et l’absence d’avancement significatif ont conduit à une frustration grandissante parmi les usagers. Le chantier, qui devait transformer l’infrastructure et améliorer la circulation, est loin de tenir ses pro
messes. Des sections de la route restent dans un état de dégradation avancée, et les conditions de circulation continuent de se détériorer.
Les usagers, qu’il s’agisse de transporteurs, de commerçants ou de simples voyageurs, dénoncent la lenteur des travaux et l’absence de communication transparente sur l’avancement du projet. « Nous avons espéré pendant des années que cette route soit enfin réhabilitée, mais la situation ne fait que se dégrader. C’est un véritable calvaire », confie un transporteur local. Le manque d’informations régulières sur l’évolution des travaux alimente également la frustration des citoyens.
Les autorités locales, ainsi que les responsables du projet, doivent désormais faire face à un défi de taille : ne pas laisser ce projet en suspens et offrir aux usagers une véritable solution aux problèmes de transport.
Le calvaire des usagers de la route Labé-Mali Yembering se poursuit donc, et les habitants espèrent que ce projet, une fois achevé, tiendra ses promesses, afin de garantir des conditions de circulation sûres et modernes pour tous. Le temps presse, et il est impératif que des actions concrètes soient prises pour répondre aux attentes légitimes des populations concernées.
Le 27 juillet 2024, un grand espoir a été suscité chez les usagers de la route Labé-Mali Yembering, avec la pose officielle de la première pierre du chantier de réhabilitation de ce tronçon clé. À cette occasion, autorités locales, responsables de la Banque Islamique de Développement (BID) et représentants de l’entreprise en charge des travaux avaient promis une amélioration rapide des conditions de circulation.
Cependant, près d’un an après cet événement symbolique, les usagers continuent de vivre un véritable calvaire, alors que le projet semble piétiner.
La route Labé-Mali longue de 107 traverse les sous- préfectures de Yembering, Fougou et Widayatou. Elle représente un axe vital pour la Guinée, non seulement reliant les deux préfectures ( Labé et Mali ) et facilitant le transport de personnes et de marchandises.
Sa dégradation progressive au fil des années a eu des conséquences dramatiques sur la vie quotidienne des habitants de la zone. Les nids-de-poule, les passages inaccessibles et les sections impraticables font partie du quotidien des usagers, ralentissant les déplacements et multipliant les risques d’accidents. Le calvaire des habitants et des voyageurs semble sans fin.
Financée par la Banque Islamique de Développement (BID), l’initiative avait été saluée comme un projet phare pour la région. L’institution financière s’était engagée à soutenir la réhabilitation de cette route essentielle, avec l’objectif de moderniser et sécuriser l’axe. Les fonds alloués à ce projet visaient à stimuler le développement régional, mais l’attente semble interminable.
L’entreprise responsable des travaux était censée mettre en œuvre des solutions rapides et efficaces. Cependant, les retards dans l’exécution des travaux et l’absence d’avancement significatif ont conduit à une frustration grandissante parmi les usagers. Le chantier, qui devait transformer l’infrastructure et améliorer la circulation, est loin de tenir ses pro
messes. Des sections de la route restent dans un état de dégradation avancée, et les conditions de circulation continuent de se détériorer.
Les usagers, qu’il s’agisse de transporteurs, de commerçants ou de simples voyageurs, dénoncent la lenteur des travaux et l’absence de communication transparente sur l’avancement du projet. « Nous avons espéré pendant des années que cette route soit enfin réhabilitée, mais la situation ne fait que se dégrader. C’est un véritable calvaire », confie un transporteur local. Le manque d’informations régulières sur l’évolution des travaux alimente également la frustration des citoyens.
Les autorités locales, ainsi que les responsables du projet, doivent désormais faire face à un défi de taille : ne pas laisser ce projet en suspens et offrir aux usagers une véritable solution aux problèmes de transport.
Le calvaire des usagers de la route Labé-Mali Yembering se poursuit donc, et les habitants espèrent que ce projet, une fois achevé, tiendra ses promesses, afin de garantir des conditions de circulation sûres et modernes pour tous. Le temps presse, et il est impératif que des actions concrètes soient prises pour répondre aux attentes légitimes des populations concernées.